VTT a 2

VTT a 2

PASSIONNEMENT VTT ................ 27.5 + 6 FATTIE et FAT BIKE

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Caméra embarquée
Depuis que nous avons commencé ce blog, il nous était impossible de lire les vidéos que l'on présentait via Wat, alors qu'à partir des autres ordinateurs, ces vidéos étaient tout à fait lisibles.
Nous avons passé plusieurs heures à chercher la cause de ce dysfonctionnement. Mais après de multiples téléchargements de divers programmes, sans aucun résultat, nous avons abandonné les recherches, pensant que l'important était que nos visiteurs puissent voir nos vidéos.

Récemment, l'un de nos visiteurs ayant le même problème a eu la gentillesse de nous donner une solution qui a marché pour lui : tout simplement enlever Norton pour le remplacer par un autre anti-virus. On a appliqué cette solution et là, miracle, les vidéos de Wat étaient visibles. C'est sans doute dû à la configuration de notre ordinateur, car pour d'autre, même avec Norton, les vidéos étaient lisibles.
Le mystère reste entier !!

On a donc regardé toutes les vidéos que l'on avait mis en ligne. Et là, on a été un peu déçu, notamment par les vidéos du comparatif entre l'Orégon ATC2K et la Gopro Hero 5 motorsport (cf article édité le 28 décembre 2008) . En effet, on s'est aperçu qu'on avait perdu beaucoup de pixels sur la vidéo Gopro uniquement par le passage par Wat, ce qui rendait cette vidéo à peine meilleure d'un point de vue pixels que l'Orégon, alors qu'avant le passage par Wat, la différence est flagrante.

Ayant vu sur le site "un dimanche de VTT" que les vidéos, "hébergées" par Zapiks donnaient un bon résultat, nous nous sommes penchés sur la question.
On s'est aperçus que Zapiks était spécialisé dans les vidéos sportives. Nous avons donc réalisé un essai.
Voyez par vous même la différence entre Wat et Zapiks sur la même vidéo réalisée pour la comparaison entre la GoPro et l'Orégon





                                                                        Film GoPro Héro 5 Motorsport via Wat

Par rapport à notre caméra GoPro, il est incontestable que Zapiks donne de meilleurs résultats (alors que ce n'est pas si flagrant pour la caméra Orégon).
Dorénavant, nous passerons toutes nos vidéos via Zapiks et normalement bientôt elles seront accompagnées de musique.
Dans le même esprit, nous avons également abandonné le logiciel "Movie Maker" pour travailler nos vidéos au profit du logiciel Pinnacle studio 12. En effet, avec ce dernier on perd moins de pixels pour les vidéos de la GoPro.

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Tige de selle téléscopique
  TIGE DE SELLE TELESCOPIQUE GRAVITY DROPPER TURBO

Changement du cable de commande   

  POUR LE DEMONTAGE COMPLET DE LA TIGE DE SELLE TELESCOPIQUE GRAVITY DROPPER ET TURBO
  VOIR LES ARTICLES PRECEDENTS


        1) démonter les 2 vis du doigt d'indexation de la tige de selle   


                 


         2) Dévisser la coupelle du dessus du doigt  pour libérer le plomb d'arrêt du cable


        

        

     Remonter le ressort interne et le doigt d'indexation avec de la graisse,
     Remonter les 2 vis de fixation du doigt sur la tige de selle.
    Attention au serrage de ces 2 vis dans l'aluminium, ne pas serrer trop fort.

      

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Rando Var
Dimanche dernier, nous avons été de nouveau sur le parcours noir n°8 à Figanières, histoire de sortir au soleil (qui est revenu !!) et de parfaire notre condition physique.

Je vous ne referais pas le descriptif de cette randonnée (pour ceux qui l'ont loupé, retournez un peu en arrière vers fin janvier).

Par contre, vous trouverez ci-dessous quelques vidéos prises lors de cette randonnée.

La première montre la montée rocailleuse que Manu a réussi haut la main, même avec quelques pieds à terre (la caméra ça motive !!!). Moi, il faut imaginer car je ne suis pas sur la vidéo, je suis derrière mais grâce au Zesty, je la grimpe beaucoup mieux, même s'il m'arrive souvent d'être arretée par un rocher plus proéminent que les autres (mais qui a mis tous ces cailloux sur ce chemin ?  Ils sont fout ces Romains !!!).
                    
                     
                           

Sur cette deuxième vidéo, on voit la première descente technique. 
Arrivée en bas, comme j'étais un peu loin et que je ne l'ai pas vu descendre (toujours l'effet caméra qui le bouste !!), je lui demande toute fière s'il a passé la grosse marche sur laquelle on avait buté tous les deux, la fois précédente. Et il me répond que non, tout abasourdi que moi je l'ai passée  !!!.
                      
                          

Vidéo finale sur la descente en escalier de Chateaudouble. 

                     
                         

Nous sommes encore en période de réglage pour le positionnement de la caméra sur le casque, ce qui explique, surtout sur la dernière, que l'on voit beaucoup le casque de Manu (qui est très beau il est vrai !!).

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Rando Var
Suite à un léger ras-le-bol de nos sorties boueuses de ces trois derniers week-ends (entraînant inévitablement de longues séances de lavages de VTT dans le froid et parfois de nuit -eh oui, c'est vraiment trop horrible la vie de VTTistes !!! - ), nous avions projeté d'aller dans le Massif de L'Estérel, dont le terrain nous semblait plus accueillant.
Répondant à leur invitation, nous rejoignons donc les Laurannis Brothers pour leur sortie dominicale dans le Massif de l'Estérel.

Laurannis ayant préparé le parcours, nous n'avions qu'à les suivre, ce qui est très agréable d'ailleurs, mais ce qui explique les imprécisions dans la description qui va suivre (pour plus de détails, il faut aller sur son site (www.undimanchedevtt.com).

Après une période d'échauffement sur la route pour rallier notre point de départ, nous attaquons par une montée assez longue mais régulière. A noter ma petite frayeur au niveau de la météo : en effet sur le début de la montée, une petite averse me fait craindre le pire (je vous jure, c'est vraiment horrible la vie de vététistes !!) Mais non, en fait ça s'arrête très vite et on voit le soleil à l'horizon sur les montagnes enneigées (très belle "image" d'ailleurs).
Mais revenons à notre randonnée, car je discute, je discute mais je me suis déjà fait "un peu" laché. Heureusement tout le monde m'attend un peu plus loin.
Et là, je refile l'appareil photo à Manu, car si on veut quelques photos sur notre blog, il faut qu'il les prenne, moi je me concentre sur mon VTT et je m'arrête le moins possible.

Après un passage sur un chemin en légère descente et une petite montée sur route, on prend la direction du Lac de l'Ecureuil (là j'ai repéré !!!) . Et là, grosse surprise car on prend sur la droite un petit single track très étroit serpentant entre les buissons en flanc de montagne. C'est super ludique surtout avec le Zesty.
Le peu de fois où on était allé dans l'Estérel, on était plus resté sur les chemins plus larges et on ne savait qu'il y avait ce type de descente (d'ailleurs si on avait su, on aurait pris nos genouillères, ce qu'on fera la prochaine fois !!).
Arrivée au lac, et à la chute (on s'arrête tous pour la regarder et la prendre en photos - on se croirait limite aux chutes du Niagara - mais au dire des habitués elle n'a jamais été aussi grosse), on suit la rivière.
    
Ensuite on prend sur la gauche une montée assez technique, caillouteuse à souhait et même rocailleuse par endroit (ce qui m'a valu une petite chute - eh oui avoir un nouveau VTT ça ne fait pas tout !!). Et, dans cette côte, il faut l'avouer, on a un peu craché nos poumons et on s'est fait carrément larguer.

En haut de la côte, nos compagnons de randonnées nous attendaient pour attaquer la descente et quelle descente !!. Pour démarrer une pente raide puis un single track entre les buissons, des virages serrés... Un vrai bonheur, quoi !!.
Et une arrivée en apothéose avec, au bout du tunnel, la vision de la mer !!
 
Mais entre les deux une "piscine" d'eau saumâtre recouverte d'algues et de divers objets non identifiés. On nous a juré que d'habitude, c'est sec ici !!!.
Bref, il faut traverser donc petit bain de pied (très vivifiant car l'eau n'est pas chauffé - inadmissible ! c'est quoi cette organisation !!) pour arriver sur la plage dans une crique magnifique.




Après une petite séance de "désalgage" des VTT (c'est une grande première pour nous, car je n'ai pas l'habitude d'avoir des algues dans le dérailleur arrière), on remonte en haut de la crique avec une vue superbe de la côte.





Petit bout de route pour reprendre derrière Théoules (si mes souvenirs sont bons) une dernière montée régulière au sommet de laquelle les Laurannis nous attendent déjà. Et là on attaque la dernière descente avec des passages de rochers très sympas (et une passerelle que je n'ai pas prise car je ne savais pas si c'était un saut ou un franchissement et dans le doute je m'abstiens!).

Au final 36km d'une superbe randonnée et 3h11 de pédalage.

Et un grand merci à Thierry, Dan, Yves, Phil, Gérald et Gé pour leur accueil, leur patience et pour nous avoir fait découvrir de beaux parcours. On a beaucoup aimé.
                          


Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #divers

Et bien sûr avant de démarrer, quelques réglages :
            - selle : nous avions mesuré la position sur le Décat' pour remettre exactement la même hauteur (par rapport à la pédale). Il restait juste à régler le recul avec le fil à plomb (cf article de Manu sur les réglages)
           - fourche : comme nous l'avait conseillé notre vélociste, réglage pour avoir un enfoncement de la fourche à 50% quand j'appuie dessus de tout mon poids (je suis debout à coté du VTT et freins serrés).
Pour le détente, je l'ai fait à l'oeil pour ne pas avoir une détente ni trop molle, ni trop rapide (des DVD fournis avec certains magazines de VTT montrent ça très bien)
           - amortisseur : gonflage pour avoir le curseur du SAG dans la zone grisée (moi je l'ai mis plutôt vers 15 pour essayer).

Voilà, je suis prête.
Quelques kilomètres de rodage de frein, quelques photos pendant qu'il est encore propre et nous voilà partis sur les chemins de Berne (eh oui, c'est à coté !).

Dès les premiers mètres, une sensation de légèreté et de maniabilité très impressionnante (et un peu déstabilisante ...). En effet, le guidon tourne très facilement rendant tous les changements de direction plus faciles. Mais en même temps, il garde très bien une trajectoire droite s'il on le décide.

Sur la montée en cailloux (sur le parcours n°3), le zesty passe beaucoup mieux. Avec le Décathlon, le choix de la trajectoire sur ce type de terrain est primordial sous peine de laisser la roue avant se "planter" dans un rocher. Par contre avec le Zesty, il n'y a pas cette sensation d'être à l'arrache sur chaque caillou qui dépasse. On passe beaucoup plus facilement, c'est plus souple (un vrai bonheur ces amortisseurs !). Une erreur de trajectoire se rattrape plus facilement, et en exagérant un peu, il n'y a même plus de trajectoire à suivre.
J'ai hâte de l'essayer sur la montée de la rando de Figanières qui est encore plus dure.

Dernier petit test : sur les parcours 1 et 2 de Berne, il y a juste après la passerelle, un petit raidillon que je n'ai jamais réussi à monter. Bon, je n'ai pas encore réussi à le monter mais je suis allée plus haut donc un bon point pour la motricité.

La deuxième sortie a eu lieu avec les Laurannis Brothers dans l'Estérel et j'ai pu vraiment tester le Zesty en descente technique (rocher, single track en virage ...).
Et là c'est encore la maniabilité qui m'a frappé dans les singles tracks tout en zig-zag et notamment un virage en épingle à gauche (qui n'est pas mon coté de prédilection) et que j'ai passé somme toute assez facilement. La précision de la trajectoire est également assez étonnante.
Par contre, il va falloir que je m'habitue à son guidon, plus large que le Décathlon. En effet, j'ai fait quelques accrochages de guidons dans les buissons et même un contact entre mes doigts et un tronc d'arbre (sans conséquence  heureusement). 
Les suspensions fonctionnent également très bien donnant une "impression" de plus grande facilité pour passer des marches ou autres obstacles.

Au final que du positif  pour moi au bout de ces deux sorties.

(note : je ne parle pas de ses qualités de relances, car c'est un de mes points faibles : je ne fais pas de relances, donc dur de juger !!)

La seule remarque négative serait dans l'accumulation de boue qui se fait sur le vélo en cas de terrains très boueux (cf la photo). Il faut également faire attention lors du nettoyage à la présence possible de caillou au niveau du bas du tube selle.
                                                          


 

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Tige de selle téléscopique

ESSAI DE LA KSP I851

En visite chez un vélociste pour acheter quelques bricoles, Manu voit la tige de selle télescopique KS I851et demande quelques renseignements. Sachant qu'elle avait 10 cm de débattement, il a tout de suite pensé à moi  (car, comme vous le savez ma tige de selle actuelle n'a que 7.5cm de débattement). Il est formidable ce Manu !!
Il fait quelques essais à blanc pour voir la souplesse de descente et de remontée : le comportement est très onctueux. Il regarde la gâchette de commande au guidon qui est très ergonomique. Et il demande le prix. Et là, il craque : "j'achète !!!!"
C'est vrai qu'à 89€ la tige de selle télescopique c'est vraiment pas cher. Quand on voit les prix aujourd'hui de la gravity dropper (389€) et la gravity turbo (447€), ça devient un vrai délire (et dire qu'il y a moins d'un an, on les a payé presque moitié moins cher).
Bref, le soir, il monte la tige de selle sur mon VTT. Et il vient me voir : "ça ne va pas le faire, ça ne marche pas !!!"

Effectivement, je m'assois sur la selle, je pousse la gâchette pour débloquer la selle et ça ne baisse pas. Je force un peu sur la selle, toujours rien.
Manu, interloqué, ne comprend pas car dans le magasin, il a essayé et le système fonctionnait très bien. Il fait donc des essais à la main. Et là, il comprend (il est trop fort ce Manu !!). Pour que la tige de selle s'enfonce, il faut une poussée dans le sens de la tige de selle. Or sur le Zesty, la tige de selle se retrouve inclinée vers l'arrière alors que le poids du corps entraîne une poussée verticale. Il y a donc un blocage.
Suite à cette constatation, on s'est effectivement aperçu que pour la faire descendre, il fallait soit :
                 - donner un coup de rein vers l'avant pour remettre le poids du corps dans le prolongement de la tige de selle. Et encore, quand je le faisais moi, il fallait que je force.
                 - s'asseoir sur l'extrême pointe de la selle, ce qui, comme on le sait tous, est une position très naturelle et surtout très recommandée en descente (sic).

Conclusion de l'histoire : cette tige de selle ne convient pas du tout au Zesty(et Spicy aussi, bien que l'essai n'a pas été fait). Il y a sans doute des VTT, dont la géométrie différente des Lapierre (avec des tubes de selles plus droits) permet d'utiliser cette tige de selle qui semble bien fonctionner.
On ramène donc cette tige de selle télescopique et au vu des prix des autres (Gravity, Joplin -un peu moins cher que Gravity mais qui n'a pas de position basse bloquée et qui peut remonter par un accrochage de short par exemple ...) je reste avec ma Gravity Turbo 7.5cm.

La petite conclusion de Manu

Cette tige de selle n'est pas mécanique mais pneumatique : le problème c'est la pression qui n'est pas réglable (entre parenthèses, j'avais du mal à la déverrouiller avec mes 83 kilos ?????).

Le systéme du vérin n'est ni plus ni moins identique au vérin de levage des hayons de voiture avec en plus un systéme de verrouillage (comme indémontable, un problème égale poubelle).
La KS I900R a le même système, il y a un manuel d'entretien de cette tige de selle en circulation sur le net, vous pourrez constaté par vous-même.
elle fait aussi office d'amortisseur de tige de selle ?????? d'aprés l'explication de la vidéo du site de vente purebike. Bonjour les modifications de hauteur de selle et les maux de genoux.
Je ne vois aucun intérêt sur un tout-supendu !


Quelques images de la Kind Shock KS  I851 (avant le retour au magasin)

                       

                            


Actualisation de cet article le 17/09/09.
Il y a des commentaires sur internet sur un fonctionnement moins hard de cette tige de selle.
Apparemment les utilisateurs ont moins de galères pour la descendre. Ils se mettent quand même sur le bec de selle (super position en enduro !) pour la faire descendre.
KS a peut étre du modifié la pression dans le vérin et le prix reste toujours incomparable.
 

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #divers

C'est l'évènement de la semaine (enfin pour moi !), car mon zesty est enfin arrivé.
A ce qu'on nous a dit, le délai d'attente était dû à un retard de livraison de pièces Shimano.

                            Regardez comme il est beau !!!


                    aussi bien au recto                            qu'au verso !!!

Dès qu'on est allé le chercher, Manu s'est attelé à faire toutes les modifications qu'on avait prévu.

Tige de selle télescopique

Pour moi, c'est un accessoire indispensable et j'aurais beaucoup de mal à m'en passer, donc j'ai récupéré celle que j'avais avant.
Avant d'en avoir une, j'étais obligée avant chaque descente qui me paraissait un peu dure, de m'arrêter pour baisser la selle, ce qui a plusieurs inconvénients :
     - premièrement, il faut bien évaluer à l'avance la difficulté de la descente car il m'est arrivé plus d'une fois de me retrouver au milieu en me disant "zut ! (car je suis toujours poli en VTT!!) j'aurais dû descendre la selle" . Donc obligation de m'arrêter plus ou moins facilement pour descendre la selle et après, le redémarrage n'est pas toujours facile voire impossible. Et d'autres fois je la baissais par précaution alors que ça n'était pas nécessaire.
Ma solution à ce problème (avant la tige de selle télescopique) était de laisser passer Manu devant et il me donnait les indications "on baisse ou on passe". Mais bon, il faut avoir un Manu sous la main !!
    - deuxièmement, un arrêt en haut d'une descente difficile pour baisser la selle est parfois bloquant : en effet, on a bien le temps de la regarder et surtout de "cogiter" ce qui, dans mon cas est loin d'être bénéfique car j'ai tendance à perdre mes moyens dans cette situation.
   - troisièmement, en cas de petite côte raide juste après une descente (ce qui arrive assez souvent dans les parcours), il y deux solutions : 
                          - pédaler avec la selle basse mais si la côte est raide = mission impossible 
                          -s'arrêter pour remonter la selle mais alors là repartir sans élan dans un raidillon = mission impossible II 
   - et quatrièmement en cas de successions de montées et descentes, cela implique de s'arrêter très fréquemment et ça devient vite lassant. En plus, on perd complètement le coté ludique d'un tel parcours.

Donc pour moi c'est tige de selle obligatoire et la Gravity dropper turbo marche très bien. Ma tige de selle a un débattement de 7.5cm (car j'étais limitée sur le Décathlon). Jusqu'à présent ça m'allait très bien. Il me reste à tester sur le Zesty qui est un peu plus haut si je reste en 7.5cm ou si j'essaie d'en trouver une à 10cm maintenant que j'ai la place.

En plus, Manu m'a monté des gachettes de vitesse SLX ( des "shifters" pour les puristes du vocabulaire) auxquelles il a enlevé l'indicateur, ce qui lui a permis de rapprocher de ma main le levier servant à  actionner la tige de selle. Je peux donc baisser ma tige de selle sans lâcher le guidon. Ce qui est très appréciable en situation critique et ce qui n'était pas le cas sur le décathlon.





Disque de 180mm à l'arrière (il était déjà present à l'avant)
Le souvenir de disques de 160 mm bleuis rendant le freinage inefficace sur notre première journée de descente reste encore dans nos mémoires. Comme on va sûrement refaire de la descente en montagne cet été, on repasse tout sur du 180mm.

Pneus
Exit le montage d'origine, je reprends la même combinaison que sur le Décathlon et qui me convenait parfaitement : Barracuda 2.10 MRC à l'avant et Ignitor 2.10 UST à l'arrière (tous les deux tubeless avec chambre à air - pour comprendre pourquoi reportez-vous à l'article précédent).

Les poignées de guidons.
Quand j'ai mis mes mains sur le guidon du Zesty, je me suis aperçue que les poignées étaient petites, trop petites. Comme on était encore chez notre vélociste, on a pris des poignées Oury (petit message personnel "Bonjour Corinne") version lock-on (pour éviter que ça tourne) qui avaient déjà été testées et approuvées par Manu. 
En plus, on a mis des embouts de guidons anodisés rouge assortis aux pièces anodisées du VTT : c'est ça, c'est le souci du détail !!
                                      

Un compteur
On a mis un nouveau compteur Mavic dont le capteur est un même temps l'écrou d'attache rapide de la roue.
Je n'ai pas encore étudié à fond toutes les possibilités de ce compteur mais je vous en ferais part dès que je serai au point.
               

Une protection de cadre
Manu a insisté pour mettre un bout de pneu sous le cadre pour éviter d'avoir plein d'impacts de pierres.
                                         

Voilà il est tout beau et prêt à rouler, mais là c'est une autre histoire.

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #pneu-chambre

  
Le pneu idéal n'existe pas car chaque vététiste a un ressenti différent par rapport à ses capacités physiques et techniques et ses exigences - prix, rendement,  grip, motricité, freinage, accroche latérale, boue, sol sec etc ...-
Le choix des pneus et vastes comme le nombre de fabricants.


Il y a quelques principes de base à respecter :
  - le pneu avant plus gros que le pneu arrière ou de même taille.
  - respecter la pression des pneus préconisée par le fabricant (pneu sur-gonflé =  déjantage; pneu sous-gonflé = risque de crevaison par pincement et rendement plus faible).
  - respecter le sens de montage (indiqué par le sens de la flèche vers le sens de marche, ou signaler en anglais" front"). Cela a une grande incidence sur le freinage, motricité, rendement...
  - les pneus en gomme tendre à l'avant (adhérence
) et en gomme dure à l'arrière (moins d'usure).

Le pneumatique a vraiment une grande importance sur les performances de nos destriers et la qualité du pilotage.

Les quelques conseils qui suivent viennent de ma petite expérience de vététiste.
Le montage que je trouve
le plus judicieux est le montage dit différencié.

Le pneu avant :
QUALITE:
 - une bonne accroche latérale (présence de crampons bien accrocheurs sur les flans du pneu)
 - bien cramponner sur la bande de roulement pour un freinage optimal (70% du freinage est à l'avant).
 - un profil rond à l'avant au lieu d'un profil plat (une direction plus souple, plus sensible)
 - plus gros qu'à l'arrière : plus d'adhérence = plus de sécurité ; plus gros volume d'air = plus de confort par l'amortissement et la filtration de beaucoup plus de vibrations.

A NEGLIGER
rendement, motricité

Le pneu arrière est le plus difficile à choisir.
Il faut qu'il ait des qualités de pédalage (rendement), d'adhérence (motricité), de freinage, et d'usure.
Le problème est que si le pneu ne s'use pas (gomme dure ), il a moins d'adhérence.
S'il a beaucoup d'adhérence, il est dur à tirer = perte de rendement.
Si on diminue les crampons en nombre ou hauteur on se retrouve avec un pneu qui a moins de motricité et freinage et plus de rendement etc...

PNEU ARRIERE
QUALITE
rendement, motricité, freinage, usure(gomme dure) : on peut même rajouter tenue latérale qui est pour moi un plus en devers.

A NEGLIGER
cela va dépendre de vos attentes.

EXEMPLE DE MONTAGE DIFFERENCIE de pneus que j'ai utilisé

Hutchinson
avant : barracuda (tenue latérale OK, freinage OK mais directionnel très moyen) ou Toro (freinage OK, directionnel OK, moins de tenue latérale) 
arrière : Toro (très polyvalent ) ou piranha (rendement OK, motricité légère, freinage léger, tenue latérale importante)

Maxxis
avant : high roller (tenue latérale OK, freinage OK, directionnel OK) ,
arrière : larsen TT (rendement OK, motricité OK, freinage léger, tenue latérale faible). 

panache de marques pour l'enduro
avant : maxxis swampthing 2.5 gomme tendre accroche latérale OK, freinage OK, directionnel OK, polyvalence (sec, boue)
arrière : schwable fat albert (rear) 2.35 rendement OK, motricité OK, freinage OK, bon débourrage dans la boue, usure rapide.
              nobby nic 2.10 ( idem).


Surtout méfiez vous des tailles données pas les fabriquants, aucune ne corresponde.

Maxxis taille petit, Hutchinson respecte à peu près ses tailles, Michelin taille légèrement plus petit, etc.
En bref, il y a peu de standard de taille.

Exemple en photo sur les pneus ci-dessous :


  Barracuda 2.10 MRC (5.4 cm)       Ignitor 2.10 UST (5 cm)


    Barracuda 2.30 MRC (5.8 cm)       Ignitor 2.35 UST (5.6 cm)
 
Les tailles des pneus sont exprimés en pouce ou inch : 1 pouce = 2.54 cm
Soit un pneu mesuré à 5.8 cm correspond à 5.8 : 2.54 = 2.28


Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Rando Var

Aujourd'hui dimanche, il fait beau donc direction Figanières et le Centre du Thronnet pour faire le parcours n°8 noir (30 km - 650 m de dénivelé).

Pour info, le centre du Thronnet était classé base VTT / FFC mais ce n'est plus le cas comme ils nous l'ont eux-même confirmé : "Nous avons abandonné le "classement site VTT" en accord avec la FD. Nous n'avons pas les moyens  de maintenir les circuits dans la mesure que ceux ci sont tracés dans des propriétés privées. La FD VTT, le Conseil Général, la Mairie, personne ne souhaite prendre en charge la gestion des circuits VTT".

 C'est dommage mais heureusement les parcours existent toujours et sont plutôt bien balisés (même si quelques unes manquent à l'appel sur l'ensemble des parcours).

 Donc aujourd'hui, fidèles à notre objectif (pour rappel : refaire des randos plus longues!), nous nous attaquons à la piste noire n°8, que nous avions déjà réalisé en partie.
Ce parcours démarre par une longue côte sur un chemin large, qui met bien en forme pour la suite.
Puis on passe sur une montée très caillouteuse (c'est le moins que l'on puisse dire!!) Et là c'est "quitte ou double" : où on est en forme et ça passe (avec quelques pieds à terre quand même), où on n'est pas en forme et là une partie de la montée se fait à pied. Et aujourd'hui moi je n'étais pas en forme mais Manu ça allait. En plus, le chemin était un peu mouillé. Mais ça reste un super exercice très technique.
   
Entre les zones caillouteuses, les chemins sont un peu humides avec quelques flaques plus ou moins importantes. Ayant trouvé qu'il était moins "hasardeux" de passer au milieu de la flaque que de la contourner sur une zone très étroite et glissante, j'opte pour cette technique aujourd'hui.
                                        
Le problème est que j'ai du mal à jauger de la profondeur de la flaque et donc ce qui devait arriver arriva, j'ai eu le droit à un bain de pieds d'eau froide boueuse mais je ne suis pas tombée !!

    
Après le passage sur le plateau avec de jolies vues sur les gorges de Châteaudouble, on arrive en haut d'une belle descente technique : un single avec quelques rochers, des cassures de terrain et virages serrés. On aime bien cette descente car elle change un peu de profil au fur et à mesure du temps et des intempéries. En plus on a découvert que des petits "gaps" ont été aménagés. Malheureusement n'étant pas encore familiarisé avec cette technique nous sommes passées à côté.
 
La descente continue jusqu'à la route.
Le parcours initial passe en face sur le pont romain et remonte jusqu'à Châteaudouble par un chemin pierré en escalier. Mais il y a un trou sur le pont romain et le chemin a été bloqué (ça fait au moins deux ans et toujours pas de réparation !!). Donc nous avons pris à droite sur la route pour remonter à Châteaudouble. Et là pas de chance : route barrée avec déviation !! Comme on est discipliné, on prend la déviation avec en prime une côte avec un devers monstrueux. En haut de la côte, ne sachant pas exactement où allait cette route on a décidé de faire demi-tour et on a pris la route barrée. En fait on n'est pas spécialement discipliné !!
Dans Châteaudouble, on prend une descente sur un chemin pierré en escalier : très sympa.
              
Ensuite on continue la descente sur un chemin large jusqu'au fond des gorges juste au-dessus de la Nartuby.
                                                                          
Et bien sûr comme on est en bas, il faut remonter. Donc après une courte montée et un petit passage sur la route, on entame une longue montée sur un chemin large. Pas technique mais longue et qui met nos organismes à rude épreuve (je rappelle qu'on est en phase d'entraînement). Cette côte se termine par un raidillon qui m'achève littéralement (je la monte à pieds mais Manu en fait la moitié en VTT ).
La descente qui suit est, par contre, très technique : recouverte de gros cailloux et rochers humides en sous-bois : nous faisons les parties les plus difficiles à pieds.
                 
La deuxième partie de la descente est un single track dans les bois.

A l'arrivée : notre compteur marquait 33km parcouru en 3h35 (temps sur le VTT), et nous, assez fatigué pour ne pas dire lessivé !! On a encore du travail à faire !! Mais on aime bien ce parcours car il est très varié, avec des portions très techniques qui permettent de "mesurer" nos progrès


Ci-dessous le descriptif de ce parcours




à noter : plusieurs parties de ce parcours sont communes avec des parcours pédestres balisées en jaune.

Grande nouvelle (surtout pour moi), normalement, c'est ma derniere sortie avec le 9.1 Décathlon.
Et oui, mon Zesty 314 arrive mardi chez notre vélociste

         

Voir les commentaires

Publié le par Manu et Vero
Publié dans : #Rando Verdon
Aujourd'hui nous avions décidé avec Manu de recommencer à faire des randonnées plus longues pour nous entraîner pour les prochaines randos organisées.

Donc nous voilà partis à Gréoux-les-Bains, avec l'objectif de faire la piste balisée n°5 noire (35km-600m de dénivelé).
Sur la route nous avons changé nos plans car :
                - on est parti en retard de chez nous et l'heure d'arrivée probable à Gréoux est 14h 
                - au fur et à mesure qu'on s'approche de notre destination finale, la neige fait son apparition et devient de plus en plus abondante.
A l'arrivée, au vu des jours encore très courts et des difficultés probables sur le parcours, on décide de changer de parcours pour éviter une arrivée de nuit (surtout qu'on n'a pas pris nos gilets jaunes !! super intelligent !!).

Donc on se lance sur le parcours n°3 rouge (29km-400m de dénivelé).

Et là, confirmation, dès le départ on a roulé sur quelques "plaques de neige". Ca permet de s'entraîner. En effet, c'est une grande première pour nous. C'est notre baptème de neige !! Donc ça mérite quelques photos souvenirs.

Sur la première partie, la neige était surtout présente sur les parties plates ou en descente : donc ça ne s'est pas mal passé, même si comme j'étais un peu crispé sur le guidon (ça glisse quand même la neige !!), et donc pas toujours très souple sur mes trajectoires. Pour Manu, par contre, ça s'est mieux passé, (mais bon, il a changé de VTT, lui !).  Mais par contre ça "crève", en plus entre les zones de neige le terrain est très boueux (voire gadoueux) avec parfois l'impression que quelqu'un vous tient la roue arrière alors que vous pédalez comme un malade pour avancer. Le terrain était très lourd.

Ensuite la quantité de neige était encore plus importante et même pas tassée par la roue d'un quelconque véhicule, ce qui rend encore plus difficile la progression.

 Ma technique de débutante arrive mal à gérer le fait que ma roue arrière dérape et se mette en travers alors que ma roue avant cherche désespérément à suivre une trace droit devant. Ce qui me vaut de faire des zigzags qui se finissent souvent avec un pied à terre.

C'est là qu'arrive des côtes toutes enneigées (alors que les descentes sont totalement déneigées), qui ont raison de nous. On les monte à pied. Eh oui la neige ça glisse encore plus dans les montées !!
On arrive donc sur un plateau où quelques plaques de neige subsistent sur les chemins très boueux (mon pneu avant était à la limite de se bloquer par de la boue qui s'accumulait sous la fourche et mon frein avant complètement bloqué par cette même boue dans l'étrier).

Au bout de 18 km, comme la fin du jour arrivait, et au vu de mon état de fatigue (plus que celui de Manu -eh oui toujours grâce au Spicy évidemment !-), nous avons fini par la route.

Au final, grâce à la neige, ç'était une superbe randonnée, très physique et très ludique !! En plus les paysages étaient magnifiques avec à l'horizon des montagnes enneigées.
On n'a pas regretté d'avoir fait ce parcours car on s'est bien amusé mais on a décidé de remettre à plus tard le parcours noir quand le terrain sera plus sec.


(pour info le parcours n°3 ne fait que 22-23 km au lieu des 29 km annoncés)
Les parcours aux alentours de Gréoux-les-Bains sont disponibles à l'office de tourisme.

Voir les commentaires

BOX LIKE

  

 

 youtube.com VTT A 2

 

 

 

 

NOMBRE DE VISITEURS

compteur internet

Archives

Articles récents

NOUVELLE CATEGORIES


 
 
 
 

 

 

Hébergé par Overblog